73ème assemblée générale de l’ONU: Stephen Bwansa demande de prêter oreille aux pays en développement

L’idée pour le secrétaire exécutif du PPRD/Chine consiste à faire en sorte que le monde retrouve son équilibre recherché avant et après la création de l’Organisation des Nations Unies (ONU). Dans une tribune que nous publions en toute intégralité, Stephen Bwansa constate que plusieurs défis méritent d’être relevés s’il faut s’en tenir à la charte des nations unies.

Ci-dessous sa tribune :  

Nous pensons que l’idée de faire de l’ONU d’abord une puissance mondiale ne date pas d’aujourd’hui. Déjà, ceux qui avaient triomphé à la  guerre planétaire de 1945 souhaitaient de tout leur cœur, d’éviter aux nations une troisième Guerre Mondiale. Et comment comptaient-ils résoudre le problème de crise d’insécurité dans le monde?

La réponse puisée dans cette thématique fut celle de tirer les leçons des échecs et du manquement de la Société Des Nations (SDN).

Voilà qu’aujourd’hui après autant d’année malgré la présence spectaculaire et puissante des soldats de la paix dans les quatre coins du monde, la force déséquilibrée persiste toujours dans notre environnement et devient des plus en plus très dangereuse et agressive.

Si hier l’organisation des Nations avait accepté les obligations imposées par la charte des Nations Unies, c’était à cause des principes de base des relations entre pays. Et la mission de Nations Unies conformément à sa charte est classifiée en quatre parties à savoir:

1. Sauvegarder la paix et la sécurité Internationales
2. Développer des relations amicales entre les nations
3. Instituer entre les nations une coopération économique, sociale et culturelle en résolvant les problèmes où conflits Internationaux et encourager le respect de droit de l’homme.
4. Être un centre où s’harmonisent les efforts des nations.

Aujourd’hui, nous peuple congolais faisant partie des signataires de la charte de nations unies. Et il est de droit et importance que la bouche autorisée de notre pays puisse faire entendre notre voix sur les efforts  dont nous devons harmoniser les vues. Il s’agit des problèmes qui menacent notre peuple ainsi que les relations non conflictuelles à entretenir avec les chefs des états pour stopper les conflits qui présagent l’inspiration d’une nouvelle forme de guerre froide. Le président la République Joseph Kabila Kabange pourra humblement faire des bonnes propositions auxquelles l’organisation des

Nations Unies doit avec le temps, minutieusement étudie et trouver des solutions pour permettre à l’Afrique de retrouver l’harmonie conformément aux chartes et lois qui régissent chaque état.

Aujourd’hui notre monde vit un déséquilibre sans précédent, comme hier les nations unies peinaient non seulement d’empêcher les Guerre, mais également de l’arrêter.

A notre époque, nous assistons à l’avancement avec force, des guerres économiques et commerciales entre les nations, malgré les traités internationaux qui nous régissent. Avec en plus, les ingérences ou non de la démocratie, justice sociale, droit de l’homme etc.

Tandis qu’il y a un manque d’application à la lettre, du droit de souveraineté d’un Etat au niveau International et surtout l’accompagnement des équilibres des certains pays développés aux projets économiques, sociaux, de sécurité et développement durable. L’incapacité de faire empêcher les interventions des forces étrangères dans des pays souverain sans leur consentement sont là certains fléaux que notre association Internationale (ONU) doit chercher, par un mécanisme de concertation, la solution la moins mauvaise pour renforcer la confiance entre état chercher.

Nous souhaitons que dans les mois qui vont suivre la clôture de cette réunion, que le monde puisse retrouver son équilibre perdu et recherché avant et après sa création.

Qui sait si demain sous le leadership des nations unies le monde vivra une  nouvelle ère de coopération internationale.

Pour l’instant vue le déséquilibre profond que traverse notre planète, il est temps d’écouter les pays en voie de développement. Car si nous constituons pour certains une faiblesse, nous savons que nous sommes par notre positionnement stratégique, une puissance qui jouera mieux la balance d’équilibre dans le monde.

Stephen Bwansa