Sanctions des personnalités, un frein pour la RDC selon Stephen Bwansa !

Il estime que les sanctions infligées contre les personnalités de la RDC sont sans impact. De l’empire du milieu où il se trouve, Stephen Bwansa, Secrétaire Exécutif du PPRD/Chine suit de près l’évolution de l’actualité de son pays.  Pour lui, entre le ciel qui grogne, le vent qui menace et le volcan en phase d’éruption, seule la détermination pour le changement des conditions sociales de la population vaut. Ce qui n’est possible qu’en se rangeant derrières les dirigeants en vue de rechercher la solution à toutes les angoisses sur l’avenir du pays. Il est très important qu’à un certain moment, que certains africains fassent un diagnostic sur l’impact des sanctions politiques et économiques qu’ils subissent.

Profitant de ces colonnes, Stephen Bwansa présente ses vœux de bonheur et longévité au Président Joseph Kabila à l’occasion de ses 46 ans de naissance. Son seul souhait est que Dieu l’accompagne dans sa volonté de la reconstruction du pays.

A l’en croire, les sanctions actuelles ressemblent à un arbre qui cache la forêt de la géopolitique ou mieux, un système d’exploitation qui n’a jamais porté croissance et consolidé les acquis de la République et le pouvoir émanant du peuple.

Raison pour laquelle, il demande à l’Union Africaine (UA), étant donné qu’il s’agit d’un de ses membres, de discuter avec cette organisation européenne de revoir cette démarche.

La population cependant, doit diagnostiquer les enjeux et le résultat desdits sanctions économique, politique ou sécuritaire du pays. Ce qu’il qualifie de freinage. Car, c’est plutôt le progrès, développement, la reconstruction, la paix et la démocratie qui intéresse le congolais.

A l’opposition par ailleurs, il recommande d’éviter la répétition de ce qu’il qualifie de traitrise, la bonne cause étant celle de défendre l’intérêt de la République.

Cela, entendu qu’il y a maintenant 45 ans que le premier Gouvernement du peuple était brutalement destitué, humilié et le pouvoir du peuple et remis entre les mains des ennemis de la démocratie. Par conséquent, plusieurs leaders politiques de la jeune République devenir les exilés dans certains pays africains. D’ailleurs, les premières sanctions avaient assassiné la jeune démocratie du Congo et freine sa construction.

La touche Joseph Kabila

Pour lui, la vision de Joseph Kabila qui consiste à un Congo émergent  est fréquentable par le tout premier accord historique dont le seul objectif est la reconstruction du pays pour le changement du social.

Le contrat chinois de 2007 était considéré comme une vision de reconstruction nationale sous des nouvelles bases avec tous les partenaires étrangers en vue d’accélérer l’émergence du Congo. Malheureusement le contrat a été fortement combattu par certaines personnes qui ont réussi à faire entendre leurs voix aux institutions financières.

Il cogite sur le fait que, la crise économique qui touche le pays en cette période n’est ni l’invention de Kabila, encore moins de sa famille politique. Au contraire, c’est la conséquence spécifique due souvent aux nouvelles périodes de la géopolitique internationale ainsi que la chute des prix des matières premières. D’où l’idée des unités de production dans d’autres secteurs industriels est importante pour la résilience économique.

Notions

Stephen Bwansa appelle à la lutte. « Aucune nation du monde, si puissante soit-elle n’a obtenu son développement sans la lutte », cogite-t-il. Pour cela, la persévérance et des échanges commerciaux, technologiques, une immigration internationale intelligente et des investissements des capitaux étrangers peuvent contribuer au changement du destin de plusieurs Etats modernes d’aujourd’hui. Par principe, il revient au congolais  de faire le diagnostic scientifique en profondeur pour faire valoir humainement aux partenaires les droits et devoirs. « Pourquoi chercher des saints au milieux d’un monde remplit d’intérêts et conflit des idéologies politiques et démocratique ? », s’interroge-t-il.

Judith Asina