Egalité des sexes: Kim Jong Un honore la femme coréenne

Le grand respect dont les femmes coréennes bénéficient s’est montré par des faits suivants: une représentation artistique solennelle a eu lieu à l’occasion de la Journée Internationale des Femme en présence du Président nord-coréen, dont l’Etat construit pour les ouvrières le pensionnat semblable à un grand hôtel et leur réserve même un grand banquet.

En bénéficiant de ces bienfaits, les femmes coréennes travaillent à leur gré dans leurs lieux de travail désignés par l’Etat, elles participent activement aux activités politiques, elles jouent un rôle important dans divers domaines: l’industrie, l’agriculture, la défense de la patrie, la littérature et les arts, l’enseignement et la santé, etc. Elles consacrent ainsi leur talent à l’accroissement de la richesse et de la puissance du Pays.

Aujourd’hui, on assiste souvent dans de divers endroits de notre Planète à la violation brutale des droits des femmes, loin de voir l’assurance de leurs droits de jouir de la liberté, de l’égalité et de la dignité. Cependant, en République Populaire Démocratique de Corée (RPDC), Etat socialiste axé sur les masses populaires, on voit une réalité contraire à cette violation.

Dans ce Pays, toutes les femmes bénéficient sans distinction non seulement de la liberté et du droit politiques, mais aussi du droit au travail et au repos, du droit de recevoir l’enseignement et le traitement gratuits et de tous les autres droits de l’homme.

En tant que maîtres du Pays, les femmes nord-coréennes participent activement à la vie sociale et politique avec les mêmes droits que les hommes. Toutes les femmes participent librement aux élections des organes du pouvoir et à l’administration des affaires d’Etat. Elles acquièrent le droit de vote et celui d’être élues sans distinction de profession, de fortune, de degré d’instruction. Les novatrices au travail et beaucoup de femmes sont élues députées à l’Assemblée Populaire Suprême et députées aux organes du pouvoir de diverses échelons et exercent leur droit de parole lors de l’examen des affaires d’Etat.

MUN Kang Sun, tisseuse ordinaire de l’Usine Textile KIM Jong Suk de Pyongyang, en est un exemple. Née enfant posthume, elle est devenue tisseuse après avoir terminé ses études. Sa mère est morte lors de son engagement dans la vie active. Cependant, sans avoir connu la tristesse due à la perte des parents, elle est devenue, dans la sollicitude de la société et de la collectivité, novatrice au travail et Héroïne du Travail. De plus, elle s’est vue assigner à titre gratuit un logement nouveau dans la Cité moderne de Changjon du centre de la Capitale. Le Dirigeant Suprême KIM JONG UN a visité sa maison pour pendre la crémaillère. Il s’est fait photographier avec les époux nouvellement logés. MUN Kang Sun a été élue député à l’Assemblée Populaire Suprême pour sa contribution à l’Etat et au Peuple.

En RPDC, les femmes jouissent des bienfaits particuliers de l’Etat et de la société.

Dans ce Pays, il n’y a pas d’impôts ni de chômage. Le système des soins médicaux gratuits et le système d’enseignement gratuit y sont en vigueur. Les femmes coréennes n’ont aucun souci à se faire pour leur profession, la nourriture et les études de leurs enfants, leurs soins médicaux.

La Maternité de Pyongyang, largement connue dans la communauté internationale, montre avec éloquence les traitements préférentiels dont les femmes coréennes bénéficient. Cette Maternité, polyclinique moderne pour femmes, accorde à titre gratuit l’aide d’accouchement et toute aide médicale nécessaire au traitement des maladies des femmes. Les accouchées quittent la Maternité avec leurs bébés en bonne santé après s’être faites guérir des maladies dont elles n’avaient pas su être atteintes. Les triplés se voient attribuer la bague d’or et le couteau d’argent et d’autres cadeaux. L’Etat décerne le titre d’Héroïne du Travail aux femmes ayant accouché de beaucoup d’enfants.

L’Institut de Tumeur des glandes mammaires de la Maternité de Pyongyang, construit il y a quelques ans, procède à un examen médical périodique pour les femmes du Pays entier et traite activement la maladie de la glande mammaire. Les femmes ordinaires de ce Pays, non les femmes désignées, reçoivent des soins médicaux à l’aide d’appareils médicaux de pointe. Elles reçoivent de l’Etat les médicaments efficaces.

Les femmes reçoivent un traitement particulier. Pour les ouvrières ayant plusieurs enfants, on réduit la durée de leur journée de travail; on leur accorde chaque mois une subvention et leur distribue même des logements en priorité. Pour encourager la participation des femmes à la vie active, on a construit, dans les villes, les campagnes et les villages de pêcheurs et partout ailleurs, les crèches, les écoles maternelles, les hôpitaux pédiatriques et les ateliers de services courants. On a défini par la loi que les usines et les entreprises ayant beaucoup d’ouvrières doivent construire leurs crèches et leurs écoles maternelles. L’Etat et la société sont obligés non seulement d’assurer les conditions nécessaires à élever et à éduquer au meilleur niveau les enfants de crèches et d’écoles maternelles, mais aussi d’épanouir leur talent.

Parmi elles, il y a des femmes scientifiques qui ont contribué à la réussite dans le lancement du satellite, manifestant ainsi le potentiel national de la RPDC, des présidentes de fermes coopératives qui ont innové dans l’agriculture de la montagneuse région septentrionale et de la côte est, des sportives qui ont manifesté l’esprit du Pays avec leurs médailles d’or, des femmes médecins qui ont ressuscité des malades en agonie avec leur sang et leur os, et des femmes cantonniers qui travaillent avec conscience dans une montagne isolée.

Le Pays où est réalisée la norme légale internationale pour l’égalité des sexes, le Pays où l’importance et le respect des femmes sont garantis et où la dignité et les droits des femmes sont assurés au meilleur niveau, c’est la RPDC.

Papy Maluku