Corée; L’histoire

1) L’ambition chimérique de réaliser son ancien rêve

En 1875, le Japon a perpétré des actes d’espionnage militaire en faisant pénétrer illégalement, plusieurs fois, son bateau d’agression Unyomaru dans les eaux territoriales de la Corée. Quand l’Armée de Mer de celle-ci a riposté, il a, sous ce prétexte, fait pression sur le Gouvernement féodal coréen pour forger le Traité Kanghwa-do (le nom d’une île coréenne, NDLR), traité de caractère inique.

L’histoire de l’agression du Japon contre la Corée à l’époque moderne, commencée par l’intrusion du bateau Unyomaru, a laissé à la Nation coréenne une plaie inguérissable.

Au cours de sa domination fasciste coloniale inouïe d’une quarantaine d’années au début du 20^ème siècle, les impérialistes japonais ont réquisitionné de force plus de 8.4 millions de Coréens pour des travaux forcés et comme pare-balles, en ont massacré sauvagement plus d’un million et ont forcé 200,000 Coréennes à servir d’esclaves sexuelles aux militaires japonais.

C’est pourquoi des voix continuent de s’élever en Corée même aujourd’hui pour faire payer fort cher au Japon ses nombreux crimes passés.

Cependant, le Japon nie et dénature totalement l’histoire de son agression, et révèle ouvertement son ambition de réagression.

Au siècle dernier, il s’était attaché à renforcer ses forces armées en observant l’attitude du monde, mais, aujourd’hui il donne une très forte impulsion au perfectionnement de son Pays en tant qu’Etat d’agression en disant «promouvoir à une vitesse foncièrement différente du passé la réforme pour la création d’une novelle capacité de défense».

Parlant bruyamment d’une «mauvaise ambiance de sécurité», il ne cache point que son mouvement militaire a pour cible la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC) et les Pays aux environs de celle-ci.

Ses «frais de défense» ayant atteint six années de suite le niveau maximum s’élèvent cette année à 5 billions 313.3 milliards de ¥, alors qu’il importe toujours des Pays alliés diverses sortes d’armes de pointe d’une valeur exorbitante.

Il est de notoriété publique que le Japon est un Etat vaincu qui ne peut avoir une armée régulière sans parler du droit de la guerre et de celui à la participation à une guerre.

Cependant la capacité d’attaque des «Forces d’autodéfense» a déjà atteint en Occident le niveau après les Etats-Unis. Actuellement, il accélère la création de nouvelles unités, y compris unité d’opérations spéciales et unité de guerre électronique, cherchant ainsi à transformer en théâtre d’agression même le cosmos et le cyberespace.

L’ambition d’agression du Japon reste ce qu’elle était il y a plus de 100 ans.

Le fait que le Japon qui avait, au siècle dernier, causé au Peuple coréen des souffrances et malheurs incommensurables s’obstine à promouvoir la ressuscitation du militarisme montre qu’il a la stupide ambition d’agresser de nouveau la Corée, puis étendre la guerre de conquête à l’échelle mondiale et réaliser son ancien rêve de la «sphère de coprospérité de la grande Asie orientale».

Si le Japon ne renonce pas à ses machinations dangereuses pour le perfectionnement de l’Etat d’agression, il restera à jamais un Pays insulaire isolé.

2) SIN Yun Bok, le Peintre

SIN Yun Bok (1758-1813?) fut Peintre de tendance réaliste typique du 18^ème siècle à l’époque de la Dynastie Choson (1392-1910).

D’origine d’une famille de peintres, y compris trisaïeul, père, oncle et mari de la tente paternelle, il s’initia à la peinture dès son bas âge.

Il n’y avait pas de données précises sur lui.

Ses meilleures œuvres parvenues jusqu’à aujourd’hui sont; «Auberge», «Canotage», «Pique-nique printanier», «Exécution du kaya-gum», «Danse à épée», «la Belle», «Pin et Faucon», «Arrière-cour», etc.

Lors de la peinture, il décrivait souvent d’une façon satirique un personnage inattentif au monde dans lequel il s’imagina lui-même, disait-on.

Il excellait surtout dans la peinture de portraits et de paysages, ce qui contribua grandement au développement des beaux-arts de la Corée.